Plusieurs types d’échange sont proposés.
Les
districts peuvent opter pour des échanges scolaires de court ou long terme,
voire les deux. Ces deux types d’échange sont généralement ouverts aux élèves
de 15 à 19 ans. La flexibilité de ce programme permet d’être adapté aux besoins
des élèves qui répondent aux critères fixés.
- Échanges
scolaires d’un an durant lequel le jeune est accueilli par plusieurs familles et
va au lycée.
- Échanges
familiaux d’été qui prennent souvent place en-dehors de la période scolaire.
- Les
candidats peuvent aussi participer l’été à un camp de jeunes dans un pays
étranger et regroupant diverses nationalités, généralement proposé autour d’un
thème spécifique.
Le site duCRJ (Centre Rotarien pour la jeunesse qui regroupe les 18 districts français) informe dans le détail sur les
modalités de ces échanges et le nouveau site Polaris du YEP 1650
fourni des informations plus spécifiques aux échanges du district. Ce
site va s’enrichir progressivement des
expériences de nos jeunes outbounds (français à l’étranger) et de nos inbounds
(étrangers en France).
Quelle est
la situation cette année ?
Les échanges
reprennent progressivement, du fait de la suspension de 2 ans, de la situation
sanitaire et de la guerre en Ukraine, certains pays ou districts ont choisi de
différer à nouveau et d’attendre pour réactiver les échanges.
Ainsi, par
rapport aux plus de 500 jeunes français qui les années antérieures partaient en
échanges longs à l’étranger (en réciprocité 500 jeunes étrangers venaient en
France), le CRJ (Multi District français) espérait en faire partir 485.
Finalement
compte tenu de diverses annulations, le nombre a dû être réduit à 382.
En ce qui
concerne le District 1650, c’est 35 jeunes qui vont partir en échanges
scolaires longs, soit une part très importante des 18 districts. De même pour
les échanges courts d’été, le D 1650 se taille la part du lion avec 30 départs
sur 150 pour toute la France.
La ténacité
de l’équipe du YEP 1650, l’accompagnement et la volonté des gouverneurs
successifs de maintenir la flamme (Jacques Petit, Michèle Toulouse et Béatrice
Orliaguet) ont payé et surtout l’engagement des 33 clubs qui ont joué le jeu.
C’est d’autant plus remarquable que réactiver des familles hôtes après
plusieurs années n’est pas forcément évident.
Mais
l’optimisme a payé.
Vivent les
échanges ! Avec nos plus vifs encouragements aux Rotary clubs du district
qui n’ont jamais participé à cette magnifique action ou l’ont oubliée.
C’est reparti !
Alain
Franconville
Youth
Exchange Chairman
District
1650